J’ai le plaisir de vous annoncer que je débute une chronique sur la politique française à QUB Radio, au micro d’Antoine Robitaille.
Pour écouter la première, sur les divisions au sein de la gauche française, cliquez ici.
J’ai le plaisir de vous annoncer que je débute une chronique sur la politique française à QUB Radio, au micro d’Antoine Robitaille.
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Texte publié dans Le Figaro le 26 janvier 2022.
Le 31 décembre dernier, j’étais invité sur les ondes de Radio-Canada, à l’émission Le Rêve en série animée par Karima Brikh, pour discuter des rêves de la jeunesse avec le réalisateur Émile Roy et la comédienne Wiam Mokhtari.
Vous pouvez réécouter l’entrevue en cliquant sur ce lien.
Texte publié dans Le Soleil le 29 novembre 2021.
Le 17 novembre dernier, j’étais invité au balado de Louis T, en compagnie de l’auteure et chroniqueuse Geneviève Pettersen. Parmi les sujets abordés: la loi 101 au cégep, l’ajout du pronom « iel » dans le dictionnaire et le troisième lien à Québec.
Texte publié dans le Journal de Montréal le 20 septembre 2021.
En 1831, Alexis de Tocqueville, le célèbre auteur de De la démocratie en Amérique, et son ami Gustave de Beaumont sont de passage au Bas-Canada. Ils sont pris de sympathie pour les Canadiens français, s’intéressent à leur condition et au climat politique local, mais ne font nulle mention du plus célèbre politicien de l’époque, Louis-Joseph Papineau. Se pourrait-il qu’ils se soient rencontrés, mais qu’aucune trace n’en ait été laissée pour la postérité?
Voilà le point de départ de Ceux dont on ne redoute rien, le premier roman historique de Mathieu Thomas, publié chez Québec Amérique le 24 août dernier. À travers deux trames distinctes, l’une au temps de la Confédération et l’autre lors de la grève étudiante de 2012, l’auteur nous plonge dans une enquête autour de la possible rencontre de Tocqueville et de Papineau quelques années avant les rébellions de 1837-38.
Cinq ans après son excellent Voir le monde avec un chapeau, Carl Bergeron exerce à nouveau son regard perçant sur la condition québécoise avec La grande Marie ou le luxe de sainteté, paru chez Médiaspaul le 25 mai dernier. À travers la vie et les écrits de Marie de l’Incarnation, personnage méconnu de la Nouvelle-France, l’auteur propose une réflexion nécessaire sur la transcendance et sur le besoin de renouer avec ce « bon infini » à la fois pour préserver la civilisation occidentale et pour donner des ailes à la culture québécoise.
Après avoir critiqué avec brio le multiculturalisme et le politiquement correct, Mathieu Bock-Côté attaque à nouveau de front ce qu’il appelle le « régime diversitaire » avec La Révolution racialiste et autres virus idéologiques, paru aux Presses de la Cité.
À une époque où la légende de la Grande Noirceur est de plus en plus nuancée, Duplessis est encore en vie de Pierre B. Berthelot, paru le 2 février dernier aux Éditions du Septentrion, analyse les représentations de Maurice Duplessis depuis sa mort en 1959. En s’intéressant à l’héritage symbolique du « cheuf », Berthelot décortique ce personnage singulier de notre histoire politique et la trace indélébile qu’il a laissé dans l’imaginaire national, tout en jetant un regard critique sur les mythes qui structurent la conscience historique québécoise.